Des routes qui se déplacent, des montagnes indociles qui ne se laissent pas facilement chevaucher et des forêts de fleurs géantes aux allures de baobabs…
Bienvenue à Azvaltya!
Un univers à la frontière entre le rêve et la réalité, un monde où tout est vivant, une « jungle » qui fascine autant qu’elle effraie!
C’est le territoire de tous les possibles, un monde parallèle au nôtre qui regorge de découvertes et de dangers…
Marcel, un voyageur qui traverse cette contrée à la recherche de sa destinée, passe par des hauts et des bas, croise tantôt l’amour, tantôt la haine… et rencontre de belles personnes qui ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.
Confronté à des impasses, lancé dans une course effrénée malgré le lourd fardeau qu’il a accumulé au cours de son périple, Marcel ne sait plus trop où il en est ni où il va… …mais il y va!
Premier tome de la série « Les souvenirs d’Azvaltya », cet album est le préambule à un cycle d’aventures qui promettent d’être épiques…
Il nous invite également à relire notre propre parcours de vie à la lumière d’un jour différent, une opportunité de considérer les embuches qui parsèment notre chemin, non comme une suite de malheurs programmés, mais comme autant de chances d’évoluer.
C’est aussi l’occasion d’évoquer deux façons de voir : la nôtre (qui manque de recul et de compréhension) et celle d’en haut, qui émane d’un stratège bienveillant préparant soigneusement ses plans.
Marcel ? Oui, mais non…
« Marcel -1 » était le titre initial pressenti pour le premier album de cette saga (qui aurait été suivi par Marcel -2 et -3), l’album zéro traçant le lien entre l’univers parallèle d’Azvaltya et celui de la série des « Marcel » actuelle, plus ancrée dans notre monde réel.
Mais s’il est vrai qu’il s’agit du même personnage, cette nouvelle série rompt vraiment avec la précédente, tant au niveau du style que du contenu. Il ne s’agit plus d’une série de gags, mais d’une histoire suivie. Et elle se veut moins axée sur l’humour et la dérision, plus dans un registre orienté science-fiction, proche du manga.
Le style perso hybride
Lorsque je montre mes dessins à des professionnels de la BD,
ceux-ci soulignent systématiquement qu’un de mes points forts réside dans mes esquisses au crayon. L’idée de faire une BD entière en esquisses a fait alors son chemin…
Les esquisses sont réalisées de manière traditionnelle, sur papier (environ 8 à 10 heures par page), puis reprises telles quelles (scannées sans passer par l’étape encrage) et enfin retravaillées sur l’ordinateur à l’aide de Photoshop et de
la tablette graphique (autant d’heures si ce n’est plus).
Un nouveau style (déjà entamé dans de
précédentes BD) est ainsi né !
La technologie qui fait gagner du temps
Les jeunes collaborateurs qui m’entourent, sont plus à la page que moi en ce qui concerne les nouvelles technologies et m’ont fait découvrir la nouvelle génération de tablettes graphiques Wacom Cintiq qui est maintenant réellement au point. Celle-ci permet d’effectuer les retouches directement sur l’écran (intégré à la tablette) ce qui me fait dorénavant gagner à la fois en productivité et en qualité.
Un investissement conséquent qui s’est révélé fort utile pour terminer juste à temps cette nouvelle BD!
Formation et bénévolat
Je me suis entouré de toute une équipe pour m’aider dans mon ministère.
Ils y a bien sûr des conseillers administratifs et stratégiques, mais il y a aussi des créatifs qui me secondent.
Ce sont essentiellement de jeunes artistes en herbe, qui sont venus comme bénévoles, en qui j’ai discerné du potentiel… et que j’ai fini par engager !
J’investis en eux, car j’aimerais que d’autres puissent se lever après moi. Ils m’épaulent, que ce soit en me déchargeant de diverses tâches annexes ou,de plus en plus, pour des tâches essentielles (comme par exemple la couleur).
Sur cette nouvelle BD, c’est Silas (mon fils) et Jean-Vincent à qui j’ai confié les textes (calligraphie) dans les bulles. Dit comme ça, ça n’a l’air de rien, mais c’est un énorme travail ! De la même manière j’ai pu ainsi « sous-traiter » divers travaux d’illustrations complémentaires et de prépresse.
Au final, cette méthode me permet de sortir un ouvrage par année et, je l’espère, permettra une relève le moment venu.
Crowdfunding et autres révolu-mutations à l’Atelier
Il y a 16 ans, je sortais ma première BD, seul dans mon coin, mais pour « Les souvenirs d’Azvaltya » qui est mon 10e album de bande dessinée, je veux que cela change…
J’aimerais pouvoir vous associer à cette sortie d’une manière toute spéciale, afin que vous ne soyez pas juste des « clients », mais que nous puissions contribuer tous ensemble à ce beau projet qui, je l’espère, aura un impact spirituel majeur dans les divers milieux où il sera diffusé.
Je sens que ce désir est présent chez beaucoup d’entre vous, c’est pourquoi il me semble tout naturel de
vous le proposer.
Une Communauté Auderset déjà en marche !
« Les Souvenirs d’Azvaltya » n’est qu’un premier pas pour rentrer dans des projets encore plus ouf… Que nos rêves pour le royaume de Dieu deviennent réalité! Ici, on pense déjà à des camps de formation pour artistes en herbe, retraites spirituelles dans la forêt, dessins animés, films, jeux vidéo, site portail artistique pour Jésus… et toutes vos idées seront bienvenues !
« Car Dieu m’est témoin que je vous chéris tous avec la tendresse de Jésus-Christ. »
Paul (Philippiens 1:8)
Vous êtes plusieurs à me suivre et par moment j’ai sincèrement l’impression de ressentir cette parole de Paul pour vous… mais probablement en plus pourri (car j’aimerais pas trop me la péter non plus)… Merci d’être de cœur avec moi dans cette mission que j’ai de présenter Jésus aux gens : pourvu que ce soit Lui qu’on rencontre avant tout !
Les souvenirs d’Azvaltya
Cela fait plusieurs années que j’imagine cette histoire entre science-fiction et fantastique. En résumé, il s’agit de la BD que j’ai toujours rêvé de trouver en librairie !
En 2002, déjà, j’avais commencé à dessiner plusieurs planches de cet univers que j’ai laissé maturer dans un coin de ma tête tout en y travaillant de temps à autre.
En 2013, je m’y suis attelé à nouveau, mais après quelques mois de travail j’ai réalisé que les possibilités étaient si vastes que j’ai été contraint de repousser la sortie de cet album… qui n’a finalement vu le jour qu’en 2017, le gros du travail ayant été effectué en 2016.
Scénario : Alain… et Jésus.
Lorsque je me balade avec Dieu, on discute du scénario. Une nuit, j’ai rêvé une double page de la BD que je trouvais juste hallucinante. Et PAF ! dès mon réveil je me suis mis à la dessiner le plus fidèlement possible. Celle-ci est non seulement devenue une des plus belles illustrations du livre, mais représente également un tournant dans l’histoire.
En 2015, je travaillais encore sur « Rendez-vous dans la forêt 2 » lorsque j’ai été invité dans une galerie BD réputée pour y présenter mon œuvre et discuter d’une possible expo.
Lorsque j’ai montré les esquisses de ce qui deviendra « Les souvenirs d’Azvaltya », les organisateurs ont tout de suite eu envie d’organiser une expo. Face à l’enthousiasme général, je raconte l’histoire dans les grandes lignes : un personnage qui, comme beaucoup d’entre nous, transporte un fardeau… Oulà, un peu plus et je vous spoilais l’histoire! Bref, alors que j’explique la trame, la responsable qui m’a invité se met à pleurer…
Pendant que ses collaborateurs essaient de comprendre ce qui se passe, moi je sens clairement que mon Ami invisible est en train de parler à son cœur… C’est là que je me suis dit : « Wow ! Cette oeuvre n’est qu’à l’état de projet que, déjà, Dieu l’utilise pour toucher des gens… Ça va être du lourd ! »
L’accouchement
Aussitôt « Rendez-vous dans la forêt 2 » terminé,
je m’y suis mis « pour de bon » et la somme de travail à été d’importance. J’ai aligné les mois à plus de 10h par jour (samedi compris) et en m’entourant de mon équipe pour finalement sortir le tome 1 de cette nouvelle saga.
Toute aide bienvenue
Une fois n’est pas coutume, j’ai besoin de votre aide pour payer l’impression de ce livre qui s’est faite par un prêt que j’ai à cœur de rembourser au plus vite.
Et la vente des BD me direz-vous? Cet apport essentiel permet effectivement de couvrir 5 mois de fonctionnement de l’Atelier. Ajoutons à cela les recettes provenant de mes spectacles qui couvrent tout juste un mois… et le reste dépend de miracles et de dons… C’est ouf non ?
Pas de panique, ça fait 20 ans que le miracle continue : Dieu pourvoit ! Cependant, si vous avez envie de participer d’une manière concrète à cette aventure, même avec une somme minime… toute aide sera bienvenue !
Avec toute mon affection.
Comment participer ? Comment participer ? – En priant- En vous informant de l’évolution de la campagne sur www.azvaltya.com et sur www.indigogo.com- En misant spontanément (même si ce n’est qu’un franc) sur www.indigogo.com- En parlant de ce crowfunding autour de vous, dans votre église, à vos amis, collègues de travail, etc.- En le partageant sur les réseaux sociaux- En faisant connaître cet évènement (et mon ministère en général) à vos médias locaux- En proposant mes ouvrages à votre bibliothèque- En vous abonnant à mes lettres de nouvelles (print et e-mail), en les proposant à vos connaissances- En soutenant régulièrement (même par des dons minimes)- En venant donner un coup de main comme bénévole à l’Atelier Auderset, à Saint-Imier……Rejoignez-nous sur www.auderset.com !
Lancement du nouvel album d’Alain Auderset
Les Souvenirs d’Azvaltya
samedi 28 octobre 2017
Ne manquez pas cette occasion rare pour passer nous voir. Vous pourrez faire dédicacer votre BD, discuter avec les artistes et partager des moments de convivialité inoubliables en compagnie d’autres gens qui, comme vous, s’intéressent, suivent, soutiennent, portent, participent, suggèrent, font découvrir…
Rendez-vous donc samedi 28 octobre, dès 17 h00
à l’Atelier Auderset, rue de la Malathe 14, à St-imier.
Si vous désirez donner un coup de main à cette occasion ou voulez qu’on vous trouve un plan d’hébergement pour ce week-end, n’hésitez pas à nous contacter.