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string(14534) "L’ATELIER SORT SON NOUVEAU LIVRE !TRAILER DU LIVRE DE LA LÉGENDE DE MI :SEMAINE VERNISSAGE21- 25.11.2023
Cette année, il y en aura pour tout le monde ! Au programme de la semaine :— Lives — Dédicaces et moments sympas en ligne sur youtube — Spectacle de La Légende de Mi — Portes-ouvertes et dédicaces à l’Atelier Auderset.
21.11|19hLiveVivez un moment en live avec Alain sur youtube, qui vous lira un extrait du livre !POUR LES ÉVÉNEMENTS EN LIVE, RDV SUR LA CHAÎNE YOUTUBE D'ALAIN AUDERSET.22.-23.11|19hDédicaces en live
Retrouvez Alain & Cie en ligne pour un moment de partage et bonne ambiance. Vous aurez la possibilité de commander un livre durant le live et de le voir se faire dédicacer en direct !
https://www.youtube.com/watch?v=UwuG_AhMhsQ
https://www.youtube.com/watch?v=lYlLHB_B8LY
Pour lamarche à suivre des dédicaces, voir au bas de la page.POUR LES ÉVÉNEMENTS EN LIVE, RDV SUR LA CHAÎNE YOUTUBE D'ALAIN AUDERSET.24.11|20hSpectacle de La Légende de Mi
Vous l’ignorez peut-être, mais ce livre est tiré d’un spectacle conté par Alain Auderset accompagné de sa guitare, puis illustré simultanément par la talentueuse Priscille de Prins ! On a donc trouvé cool de vous présenter l’origine de ce roman sur les planches du Temple de Renan pour cette semaine de vernissage ! Rendez-vous donc à la Rue Samuel-Aubigné 3, 2616 Renan ! Vous aurez aussi l’occasion de vous procurer le livre !
Venez fêter la sortie du nouveau livre avec toute l’équipe de l’atelier Auderset. Ce sera non seulement l’occas' d’obtenir une dédicace, mais aussi de découvrir l’endroit et d’en apprendre plus sur l’atelier tout en dégustant un bon vin chaud !
Rendez-vous à L’Atelier Auderset, Rue de la Malathe 14 à St-ImierDÉDICACES !
Durant ces lives, les 100 premières commandes du livre « La Légende de Mi » pourront être dédicacées, avec de grandes chances de les voir se réaliser en direct !
Il suffit de suivre ces instructions :
Pour demander une dédicace, achetez le livre sur la boutique en ligne. (shop.auderset.com) Lors de votre commande, pensez bien à ajouter dans « Note » que vous souhaitez une dédicace.
Vous aurez un dessin dans tous les cas, mais si vous souhaitez une mention particulière (votre prénom et nom, ou ceux de quelqu’un d’autre, ou quelque chose du genre) pensez à l’indiquer (le dessin sera en fonction de l’inspiration d’Alain Auderset).
Si vous payez votre livre avec PayPal ou par Carte Bancaire, votre commande pourra être dédicacée directement → vous aurez peut-être l’occasion de voir Alain la faire en live pendant les moments prévus. Si vous le payez autrement (par PostFinance et Ban Post) → vous aurez tout de même une dédicace, mais elle ne sera faite que lors de la réception du paiement.
COMMANDEZ « LA LÉGENDE DE MI » VERSION STANDARD
COMMANDEZ « LA LÉGENDE DE MI » VERSION DE LUXE
Télécharger gratuitement les 80 premières page
de"La légende de Mi" version standard.
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Pour lamarche à suivre des dédicaces, voir au bas de la page.POUR LES ÉVÉNEMENTS EN LIVE, RDV SUR LA CHAÎNE YOUTUBE D'ALAIN AUDERSET.24.11|20hSpectacle de La Légende de Mi
Vous l’ignorez peut-être, mais ce livre est tiré d’un spectacle conté par Alain Auderset accompagné de sa guitare, puis illustré simultanément par la talentueuse Priscille de Prins ! On a donc trouvé cool de vous présenter l’origine de ce roman sur les planches du Temple de Renan pour cette semaine de vernissage ! Rendez-vous donc à la Rue Samuel-Aubigné 3, 2616 Renan ! Vous aurez aussi l’occasion de vous procurer le livre !
Venez fêter la sortie du nouveau livre avec toute l’équipe de l’atelier Auderset. Ce sera non seulement l’occas' d’obtenir une dédicace, mais aussi de découvrir l’endroit et d’en apprendre plus sur l’atelier tout en dégustant un bon vin chaud !
Rendez-vous à L’Atelier Auderset, Rue de la Malathe 14 à St-ImierDÉDICACES !
Durant ces lives, les 100 premières commandes du livre « La Légende de Mi » pourront être dédicacées, avec de grandes chances de les voir se réaliser en direct !
Il suffit de suivre ces instructions :
Pour demander une dédicace, achetez le livre sur la boutique en ligne. (shop.auderset.com) Lors de votre commande, pensez bien à ajouter dans « Note » que vous souhaitez une dédicace.
Vous aurez un dessin dans tous les cas, mais si vous souhaitez une mention particulière (votre prénom et nom, ou ceux de quelqu’un d’autre, ou quelque chose du genre) pensez à l’indiquer (le dessin sera en fonction de l’inspiration d’Alain Auderset).
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COMMANDEZ « LA LÉGENDE DE MI » VERSION STANDARD
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L’ATELIER SORT SON NOUVEAU LIVRE ! TRAILER DU LIVRE DE LA LÉGENDE DE MI : SEMAINE VERNISSAGE 21- 25.11.2023 Cette année, il y en aura pour tout le monde ! Au programme de la semaine : — Lives — Dédicaces et moments sympas en ligne … More…More…
Posted inNouveautés|Commentaires fermés sur Vernissage – La légende de Mi
Car notre état de cœur ne dépend pas tant de ce qui nous arrive, mais d'où on regarde! Est-ce que tu regardes à ton problème ou à la solution, à Jésus?
exemple,
avec un truc qui vient de m’arriver:
L’exemple de la thune
Heu…alarme!
M’ayant pris à part, la comptable de l’atelier m’annonce une fois de plus que nous sommes dans les chiffres rouges…
- Bah la routine coa!
mais elle insiste:
- heu… ça n'a jamais été si grave, cette fois il nous manque 120’000.- CHF/Euro!
Ouh là ! C’est vrai qu' on est mal… je réfléchis.
Je me suis déjà retrouvé avec plus rien à manger pour le lendemain pour ma famille, et Dieu a pourvu par un miracle: quelqu’un était venu sonner à la porte avec ce qu’il fallait pour cuisiner un repas (elle a eu cette lubie comme ça).
Est-ce que cette somme est un miracle plus compliqué pour Dieu? Absolument pas.
Alors, tranquille, je réponds à ma comptable:
- Tqt, Dieu pourvoira!
Tranquille, je suis retourné à mon travail. J’écris une belle parabole en livre, et je sais que ça touchera beaucoup de gens, ça va bien (le kiff, même)
Regards vers le souci
Mais plus tard, ma femme m’envoie un sms pour me dire qu’il ne nous faut vraiment plus faire de courses avec la carte qui est trop en-dessous. Mon inquiétude, que j’avais réussi à mettre en veille, s’est mise en branle.
Perturbé par cette nouvelle info, j’ai un peu tendance à regarder vers elle pour gamberger. J’ai très mal dormi.
La thune
Le lendemain j’ai été à l'église et au moment de la collecte le Seigneur m’a dit:
- mets les 5.- francs que tu as.
J’ai hésité:
- Heu,t’es sûr…?
Mais j'ai ouvert mon porte-misère, et au moment où j'avais la pièce dans la main, je me suis rappelé que sur sa tranche, il est écrit: «Dominus providebit», («Dieu pourvoira»).
Alors je l’ai donnée et après une bonne sieste, (heu pas pendant la prédication, après, de retour chez moi!),
paf, je me lève avec cette pensée obsédante:
- va visiter telle personne!
En plus, j’ai trop envie de revoir ces gens, mais j’hésite grave car il me faut prendre la voiture. Alors j’argumente:
- mais Seigneur et si je n’ai plus assez d’essence pour rentrer, j’aurai l’air malin avec ma panne sèche
- va!!
(bon okay! okay!) Je vais voir ces gens, pour prendre de leurs nouvelles et j’ai trop de joie à les revoir. Au moment de retourner chez moi, ils me retiennent:
- attends, on a quelque chose pour toi!
ils tendent une enveloppe avec 1200.- Euros . Sous le choc, je leur dis que non, que ça me gêne, que…quand j’entends le Seigneur penser en moi:
- accepte!
et sur mon chemin de retour, il ajoute:
- c’est de ma part…
Alors, plus tard et à plus d’un titre, j’ai fait le plein. Alors oui, je sais, il reste une grosse dette, je ne suis pas tiré d'affaire, et je n’ai aucune idée d'où ça viendra, mais… je regarde au bon endroit et donc je vais super bien, je suis en paix.
“J'ai cherché l'Eternel, et il m'a répondu; Il m'a délivré de toutes mes frayeurs.Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte.” Psaume 34: 4-5
Si jamais, je raconte ce témoignage dans le live 35:
Car notre état de cœur ne dépend pas tant de ce qui nous arrive, mais d'où on regarde! Est-ce que tu regardes à ton problème ou à la solution, à Jésus?
exemple,
avec un truc qui vient de m’arriver:
L’exemple de la thune
Heu…alarme!
M’ayant pris à part, la comptable de l’atelier m’annonce une fois de plus que nous sommes dans les chiffres rouges…
- Bah la routine coa!
mais elle insiste:
- heu… ça n'a jamais été si grave, cette fois il nous manque 120’000.- CHF/Euro!
Ouh là ! C’est vrai qu' on est mal… je réfléchis.
Je me suis déjà retrouvé avec plus rien à manger pour le lendemain pour ma famille, et Dieu a pourvu par un miracle: quelqu’un était venu sonner à la porte avec ce qu’il fallait pour cuisiner un repas (elle a eu cette lubie comme ça).
Est-ce que cette somme est un miracle plus compliqué pour Dieu? Absolument pas.
Alors, tranquille, je réponds à ma comptable:
- Tqt, Dieu pourvoira!
Tranquille, je suis retourné à mon travail. J’écris une belle parabole en livre, et je sais que ça touchera beaucoup de gens, ça va bien (le kiff, même)
Regards vers le souci
Mais plus tard, ma femme m’envoie un sms pour me dire qu’il ne nous faut vraiment plus faire de courses avec la carte qui est trop en-dessous. Mon inquiétude, que j’avais réussi à mettre en veille, s’est mise en branle.
Perturbé par cette nouvelle info, j’ai un peu tendance à regarder vers elle pour gamberger. J’ai très mal dormi.
La thune
Le lendemain j’ai été à l'église et au moment de la collecte le Seigneur m’a dit:
- mets les 5.- francs que tu as.
J’ai hésité:
- Heu,t’es sûr…?
Mais j'ai ouvert mon porte-misère, et au moment où j'avais la pièce dans la main, je me suis rappelé que sur sa tranche, il est écrit: «Dominus providebit», («Dieu pourvoira»).
Alors je l’ai donnée et après une bonne sieste, (heu pas pendant la prédication, après, de retour chez moi!),
paf, je me lève avec cette pensée obsédante:
- va visiter telle personne!
En plus, j’ai trop envie de revoir ces gens, mais j’hésite grave car il me faut prendre la voiture. Alors j’argumente:
- mais Seigneur et si je n’ai plus assez d’essence pour rentrer, j’aurai l’air malin avec ma panne sèche
- va!!
(bon okay! okay!) Je vais voir ces gens, pour prendre de leurs nouvelles et j’ai trop de joie à les revoir. Au moment de retourner chez moi, ils me retiennent:
- attends, on a quelque chose pour toi!
ils tendent une enveloppe avec 1200.- Euros . Sous le choc, je leur dis que non, que ça me gêne, que…quand j’entends le Seigneur penser en moi:
- accepte!
et sur mon chemin de retour, il ajoute:
- c’est de ma part…
Alors, plus tard et à plus d’un titre, j’ai fait le plein. Alors oui, je sais, il reste une grosse dette, je ne suis pas tiré d'affaire, et je n’ai aucune idée d'où ça viendra, mais… je regarde au bon endroit et donc je vais super bien, je suis en paix.
“J'ai cherché l'Eternel, et il m'a répondu; Il m'a délivré de toutes mes frayeurs.Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte.” Psaume 34: 4-5
Si jamais, je raconte ce témoignage dans le live 35:
Vous pouvez vous inscrire icià la lettre de nouvelle pour recevoir d'autres publications d'Alain Auderset.
[:de]HALLO, WO SCHAUST DU HIN?
-„Hallo, wie geht’s ? »
Wir sollten die Frage lieber so stellen :
-« Hallo, worauf richtet sich dein Blick? »
Denn unser Herzzustand hängt nämlich nicht so sehr von dem ab, was uns passiert, sondern worauf wir unseren Blick richten ! Guckst du auf dein Problem oder auf den Ausweg, auf Jesus ?
Hier ein Beispiel, das mir gerade passiert ist :
Die Sache mit der Knete…
Äh …Alarm !
Die Steuerberaterin des Ateliers hat mich zur Seite genommen, um mir einmal mehr mitzuteilen, dass wir in den roten Zahlen stehen…
Naja, wie immer halt !-
Sie betont : Äh, es war noch nie so schlimm wie dieses Mal, es fehlen uns 120 000.- CHF/Euro !
Ich denk, O nein, jetzt ist es richtig schlecht um uns bestellt! …Ich fange an zu grübeln.
Es ist mir schon passiert, dass ich für den nächsten Tag, für meine Familie nichts mehr zu essen hatte und Gott durch ein Wunder vorgesorgt hat. Jemand hat an der Haustür geklingelt und Proviant für ein Essen mitgebracht (Diese ausgeflippte Idee kam ihr einfach so).
Erfordert diese Geld(un)summe ein zu schwierigeres Wunder von Gott ? Sicher nicht !
Also antworte ich meiner Steuerberaterin ganz ruhig :
- „Bloß kein Stress, Gott wird dafür sorgen!“
Ich gehe getrost an meine Arbeit zurück. Ich schreibe im Moment ein schönes Gleichnis, dass ein Buch werden soll, und ich weiß, dass es viele Leute ansprechen wird. Alles paletti, ich krieg‘ gar den Kick!
Der Blick auf die Sorgen
Aber später schickt mir meine Frau eine SMS, in der steht, dass wir die Kreditkarte zum Einkaufen gar nicht mehr benutzen dürfen, weil wir so tief im Minus sind. Freilich kommt die Besorgnis, die ich für eine Weile ruhiggestellt hatte, gleich wieder hoch.
Diese Nachricht bringt mich aus der Fassung und alles dreht sich um diese Gedanken. Es wird eine unruhige Nacht.
Knete, Zaster, Pinke-Pinke !!
Am nächsten Tag, als in der Gemeinde das Opfer gerade eingesammelt wird, spricht der Herr zu mir: „Gib deine 5 Franken.“
Ich zögere. „Äh, bist du dir sicher ?“ Also öffne ich meinen Geldbeutel und im gleichen Moment, als ich das Geldstück in meiner Hand halte, erinnere ich mich, was auf der Kante geschrieben steht: „Dominus providebit“ (Gott wird dafür sorgen)
Ich spende es also und nach einem guten Mittagsschläfchen (He, nicht während dem Gottesdienst, sondern daheim !), wache ich mit diesem eindringlichen Gedanken auf : „Besuch doch diese Personen!“
Obwohl ich richtig Lust auf einen Besuch habe, bin ich wirklich unschlüssig weil ich dazu das Auto nehmen muss. Ich fang‘ zu argumentieren an : Wenn ich dann nicht genug Benzin für die Heimfahrt habe ? Ich würde doch blöd aussehen, wenn das Benzin ausginge ! « Geh !! »
Ja, ja, ist schon gut ! Ich guck‘ mal vorbei und frag‘ sie, wie’s ihnen so geht. Ich freu‘ mich schon, sie wiederzusehen.
Beim Abschied halten sie mich mit den Worten zurück: „Warte mal, wir haben was für dich!“ Sie strecken mir einen Briefumschlag mit 12 000.- Euro entgegen. Unter Schock erwidere ich, nein doch, das ist mir gar nicht recht… als ich innerlich die Stimme des Herrn sagen höre: „Nimm es!“ Und auf der Heimfahrt fügt er noch hinzu : „ Das ist von mir…“
Etwas später tanke ich voll, und das in mehrerer Hinsicht. Ich weiß, ich bin noch nicht aus der Patsche gezogen, es bleibt noch ein großer Schuldenberg und ich hab‘ keinen Schimmer, woher Hilfe kommen wird, aber ich gucke auf die richtige Stelle und habe Frieden.
„ Preiset mit mir den Herrn und lasst uns miteinander seinen Namen erhöhen ! Da ich den Herrn suchte, antwortete er mir und errettete mich aus aller meiner Furcht.” Psalm 34, 4-5
Alain
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Ich melde mich an
[:en]– Hi! How are you doing?
The question we should ask instead is:
– Hi! Where are you looking?
Because the state of our heart doesn't really depend on what we're going through but on what we're looking at! Are you looking at your problem or at the solution, Jesus?
Example of something that just happened to me:
Money issue
Uh…warning!
Taking me aside, the workshop's accountant announces to me that our numbers are in the red… again!
– Oh well… business as usual!
But she insists:
–uh… it's never been as bad; this time we're 120,000 CHF short!
Ouch! Doesn't sound good… I ponder.
I've already been where there was nothing for my family to eat, and God provided with a miracle: someone rang at my door with all the ingredients to cook a meal (the idea had come to them out of the blue)
Are we a more complicated miracle for God? Absolutely not!
So, I calmly tell my accountant:
– Don't worry, God will provide!
I went back to my work in peace. I'm working on a beautiful parable that I know will touch a lot of people. Everything's fine (and beyond).
Looking at the concern
But a little later, my wife sends me a text message to tell me we can't use our credit card any more. The anxiety I had been able to shush, suddenly kicked in.
Disquieted by this new information, I tend to look at it. I didn't sleep well at all that night.
Money
The next day, I went to church and during the offerings the Lord told me:
– Give the 5 CHF you've got.
I hesitated:
– Uh, u sure…?
But I opened my wallet and as I was holding the coin, I remembered it had "Dominus providebit", ("God will provide"), written on its edge.
So, I gave it and after my nap (back home, not during the preaching!), bam! I get up with this haunting thought:
– Go visit so-and-so!
I really wanted to see them again, on top of it. But I didn't feel like taking the car. So, I started arguing:
– But Lord! I don't have enough fuel. I'll be ridiculous if I run dry.
– Go!!
(okay! okay!) So I visit these people and we catch up. I'm thrilled to see them again.
As I'm about to leave, they stop me:
– Wait, we've got something for you!
They handed me an envelope with 1,200 Euros. In shock, I tell them that I can't accept, that I… when I hear the Lord thinking inside me:
– Accept!
And as I'm driving back, He adds:
– It's from me…
Later, I topped up (and not just the tank) So, yeah! I'm aware I still owe the bank a lot, and I don't have a clue where that money will come from, but… I'm looking in the right direction. So, I'm at peace and more than okay.
"I sought the Lord, and he answered me; he delivered me from all my fears. Those who look to him are radiant; their faces are never covered with shame." Psalm 34:4-5
Alain
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– Salut, comment ça va? La question que nous devrions plutôt poser est: – Salut, où regardes-tu? Car notre état de cœur ne dépend pas tant de ce qui nous arrive, mais d’où on regarde! Est-ce que tu regardes … More…More…
Posted inBlog|Commentaires fermés sur Salut, oú tu regardes?
L’imériale ? Ben… c’est le nom de la fête de mon village. Le bruit empêche les gens raisonnables de dormir et on y boit trop, mais bon… si l’occasion se présente, je vais volontiers y faire un tour vite fait, histoire de prendre la température.
A coup sûr, j’y croise plein de potes et parmi eux, Jaime (spécial comme nom hein ?). C’est un gars bien de chez nous, mais de type philippin. A dire vrai, je ne le connais pas bien. Ça ne s’explique pas, mais pour lui comme pour d’autres, je sens que nous ne nous croisons jamais par hasard.
A chaque fois, entre deux salutations, je déborde d’un “Dieu te bénisse, mec !” auquel il réagit systématiquement par un chaleureux : “Oh merci, toi aussi !”
Salut les copains !!
Puis un soir d’Imériale, il m’annonce qu’il déménage au Québec. Le Canada… à l’époque, je sais juste que ça existe quelque part, si loin dans le monde que je n’y irai sûrement jamais. Ça me fait un peu bizarre de me dire que je ne croiserai plus cette bonne bouille et me rend un peu triste. Alors, je lui fais un hug et lui souhaite une belle vie.
Grâce à la magie de Facebook, on s’écrit quelques salutations vite fait de temps à autre. Et quelques années après, surprise, je le croise de nouveau à l’Imériale !
- Oh Jaime ?! Kesk tu f. là ?
Avec ce large sourire qui ne le quitte jamais, il me dit :
- Mais voyons donc*, je suis venu exprès pour revoir les copains !
Il vient de si loin exprès… pour croiser les copains ?! Moi qui ne vois pas trop l’intérêt de ce genre de fête, j’en reste coît… pour un peu ça me remettrait presque en question !
*expression typique du Québec
Montréal
Puis un jour, l’inimaginable m’arrive : j’ai l’occasion de faire une tournée au Québec avec mes spectacles ! J’adore ce pays, mais pour être franc, sur le stand de dédicaces où on m’a posé, je me sens un peu paumé. Loin des miens, j’ai un peu le mal du pays, quand soudain : kikeu j’vois…!?
Jaime, qui radieux, répond à l’étonnement qui se lit sur ma face par un : "Kesk tu crois mec ? J’te suis sur FB, alors je suis venu exprès".
Ça fait trop plaisir, (c’est un comble, un philippien qui me rappelle le pays 😂), si je m’attendais…! On prend le temps de boire une bière et il m’explique avoir des ennuis de santé. Cette fois plus que jamais, je lui dis de s’accrocher au Seigneur, que Dieu l’aime. Bien qu’il me réponde qu’il le sait, qu’il prie déjà, je ne suis pas sûr qu’il ait compris ce que j’entends vraiment. Mais comme il repart avec un de mes livres sous le bras qu’il a pris pour me soutenir, j’espère que ça complètera ce que je n’ai pas su lui expliquer.
Le temps a passé, et il y a deux jours, j'ai appris qu’il était mort d’un cancer.
Ciao Jaime
Il est enterré à Montréal, mais une messe commémorative est organisée au village. J’y reconnais quelques copains, on est de ceux qui ne font que se croiser dans la vie, mais dorénavant nous sommes unis par un lien plus fort que d’hab. La cérémonie est suivie d’un apéro avec la famille qui se déroule dans une salle à proximité. La première chose qu’on y voit en entrant, c’est un écran où défilent des photos de la vie de notre pote. On se les prend en plein cœur.
Salut Jaime, je suis venu exprès.
Quel choc de voir toute une vie résumée en quelques minutes. Sous la photo souriante de Jaime, il est écrit : 20.01.1972 - 19.08.2023… Juste un tiret entre deux dates… la vie passe si vite !
Pris au dépourvu par nos émotions, les mots nous manquent. On arrive juste à dire des choses qui ressemblent sans l’être à des platitudes : que la vie est un rare privilège, qu’on ne s’en rend pas compte et que purée…il faut savoir en profiter.
Hugo
Parmi les potes présents, il y a Hugo.
Ah, Hugo… en voilà un que Dieu n’arrête pas de mettre sur mon chemin et je ne me prive pas de le lui faire remarquer. Complice, il sourit car il sait pertinemment que c’est vrai. Il me demande:
- Dis, toi qui crois en Dieu, tu peux nous dire où on va après la vie ? Et d'ailleurs selon toi, pourquoi on vit?
Avant de lui répondre, je ne peux m’empêcher de l’observer avec beaucoup de bienveillance.
Comme d’hab, il m’écoute attentivement et me promet d’y réfléchir…
La leçon de Jaime
Avant de partir, je salue quelques personnes, la sœur du défunt, Hugo, ceux que j’ai à portée de main et je jette un dernier regard sur les photos de Jaime. Sur chacune d’elles, il y a son incroyable sourire.
Je ne sais pas si je vais réussir à me retenir de pleurer plus longtemps, car je suis bouleversé par une vérité que je n’avais pas pleinement conscientisée jusqu'à ce jour.
Étant investi de foi, j’ai toujours cru que si je croisais Jaime, c'était parce que je devais lui apporter quelque chose de la part de Dieu pour le bénir, et sincèrement, j’espère que c'était le cas… mais je comprends aujourd’hui, que l’air de rien, il m’en a donné tout autant.
C’est fou cette propension que j’ai à minimiser l'œuvre de Dieu chez les autres! Apparemment, certains qu’on imagine loin de Lui ont capté des profondeurs de la vie dont j’ai beaucoup à apprendre….
C’est bête, mais je me réjouis déjà des gens que je croiserai en allant acheter mon pain ou lors de la prochaine Imériale. Hum, il y a des chances pour que j’y fasse un tour. J’y reverrai la sœur de Jaime, mon pote Hugo et tant d’autres. Ça sera des moments fugaces, mais je saurai les savourer, car je me rappellerai qu’ils sont empreints d’éternité.
Si vous aimez mes textes, vous pouvez télécharger gratuitement 80 pages de mon précédent livre “Rendez-vous dans la forêt 4” : https://mailchi.mp/auderset.com/rdvf4
Le nouveau, La légende de Mi arrive fin novembre !
L’imériale ? Ben… c’est le nom de la fête de mon village. Le bruit empêche les gens raisonnables de dormir et on y boit trop, mais bon… si l’occasion se présente, je vais volontiers y faire un tour vite fait, histoire de prendre la température.
A coup sûr, j’y croise plein de potes et parmi eux, Jaime (spécial comme nom hein ?). C’est un gars bien de chez nous, mais de type philippin. A dire vrai, je ne le connais pas bien. Ça ne s’explique pas, mais pour lui comme pour d’autres, je sens que nous ne nous croisons jamais par hasard.
A chaque fois, entre deux salutations, je déborde d’un “Dieu te bénisse, mec !” auquel il réagit systématiquement par un chaleureux : “Oh merci, toi aussi !”
Salut les copains !!
Puis un soir d’Imériale, il m’annonce qu’il déménage au Québec. Le Canada… à l’époque, je sais juste que ça existe quelque part, si loin dans le monde que je n’y irai sûrement jamais. Ça me fait un peu bizarre de me dire que je ne croiserai plus cette bonne bouille et me rend un peu triste. Alors, je lui fais un hug et lui souhaite une belle vie.
Grâce à la magie de Facebook, on s’écrit quelques salutations vite fait de temps à autre. Et quelques années après, surprise, je le croise de nouveau à l’Imériale !
- Oh Jaime ?! Kesk tu f. là ?
Avec ce large sourire qui ne le quitte jamais, il me dit :
- Mais voyons donc*, je suis venu exprès pour revoir les copains !
Il vient de si loin exprès… pour croiser les copains ?! Moi qui ne vois pas trop l’intérêt de ce genre de fête, j’en reste coît… pour un peu ça me remettrait presque en question !
*expression typique du Québec
Montréal
Puis un jour, l’inimaginable m’arrive : j’ai l’occasion de faire une tournée au Québec avec mes spectacles ! J’adore ce pays, mais pour être franc, sur le stand de dédicaces où on m’a posé, je me sens un peu paumé. Loin des miens, j’ai un peu le mal du pays, quand soudain : kikeu j’vois…!?
Jaime, qui radieux, répond à l’étonnement qui se lit sur ma face par un : "Kesk tu crois mec ? J’te suis sur FB, alors je suis venu exprès".
Ça fait trop plaisir, (c’est un comble, un philippien qui me rappelle le pays 😂), si je m’attendais…! On prend le temps de boire une bière et il m’explique avoir des ennuis de santé. Cette fois plus que jamais, je lui dis de s’accrocher au Seigneur, que Dieu l’aime. Bien qu’il me réponde qu’il le sait, qu’il prie déjà, je ne suis pas sûr qu’il ait compris ce que j’entends vraiment. Mais comme il repart avec un de mes livres sous le bras qu’il a pris pour me soutenir, j’espère que ça complètera ce que je n’ai pas su lui expliquer.
Le temps a passé, et il y a deux jours, j'ai appris qu’il était mort d’un cancer.
Ciao Jaime
Il est enterré à Montréal, mais une messe commémorative est organisée au village. J’y reconnais quelques copains, on est de ceux qui ne font que se croiser dans la vie, mais dorénavant nous sommes unis par un lien plus fort que d’hab. La cérémonie est suivie d’un apéro avec la famille qui se déroule dans une salle à proximité. La première chose qu’on y voit en entrant, c’est un écran où défilent des photos de la vie de notre pote. On se les prend en plein cœur.
Salut Jaime, je suis venu exprès.
Quel choc de voir toute une vie résumée en quelques minutes. Sous la photo souriante de Jaime, il est écrit : 20.01.1972 - 19.08.2023… Juste un tiret entre deux dates… la vie passe si vite !
Pris au dépourvu par nos émotions, les mots nous manquent. On arrive juste à dire des choses qui ressemblent sans l’être à des platitudes : que la vie est un rare privilège, qu’on ne s’en rend pas compte et que purée…il faut savoir en profiter.
Hugo
Parmi les potes présents, il y a Hugo.
Ah, Hugo… en voilà un que Dieu n’arrête pas de mettre sur mon chemin et je ne me prive pas de le lui faire remarquer. Complice, il sourit car il sait pertinemment que c’est vrai. Il me demande:
- Dis, toi qui crois en Dieu, tu peux nous dire où on va après la vie ? Et d'ailleurs selon toi, pourquoi on vit?
Avant de lui répondre, je ne peux m’empêcher de l’observer avec beaucoup de bienveillance.
Comme d’hab, il m’écoute attentivement et me promet d’y réfléchir…
La leçon de Jaime
Avant de partir, je salue quelques personnes, la sœur du défunt, Hugo, ceux que j’ai à portée de main et je jette un dernier regard sur les photos de Jaime. Sur chacune d’elles, il y a son incroyable sourire.
Je ne sais pas si je vais réussir à me retenir de pleurer plus longtemps, car je suis bouleversé par une vérité que je n’avais pas pleinement conscientisée jusqu'à ce jour.
Étant investi de foi, j’ai toujours cru que si je croisais Jaime, c'était parce que je devais lui apporter quelque chose de la part de Dieu pour le bénir, et sincèrement, j’espère que c'était le cas… mais je comprends aujourd’hui, que l’air de rien, il m’en a donné tout autant.
C’est fou cette propension que j’ai à minimiser l'œuvre de Dieu chez les autres! Apparemment, certains qu’on imagine loin de Lui ont capté des profondeurs de la vie dont j’ai beaucoup à apprendre….
C’est bête, mais je me réjouis déjà des gens que je croiserai en allant acheter mon pain ou lors de la prochaine Imériale. Hum, il y a des chances pour que j’y fasse un tour. J’y reverrai la sœur de Jaime, mon pote Hugo et tant d’autres. Ça sera des moments fugaces, mais je saurai les savourer, car je me rappellerai qu’ils sont empreints d’éternité.
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Le nouveau, La légende de Mi arrive fin novembre !
Jaime et les instants fugaces L’imériale L’imériale ? Ben… c’est le nom de la fête de mon village. Le bruit empêche les gens raisonnables de dormir et on y boit trop, mais bon… si l’occasion se présente, je vais volontiers … More…More…
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