Séjour en Espagne
J’ai encore eu une belle journée avec, une fois de plus, l’immensité de la mer en face de moi avant de vraiment la commencer. J’ai ensuite kiffé passer quelques heures à écrire.
Puis je me suis baladé avec ma maman. Puis j’ai joué de la guitare, pour accompagner le soleil jusqu’ à ce qu’il s’éteigne. Le soir venu, je me suis remis d’arrache-pieds à ma BD. Je suis assez satisfait du rendu dessin et scénario auquel je suis parvenu ces derniers jours. Ces pages m’ont été inspirées lors d’une balade en forêt avant de quitter le pays.
Les invités à la fête
La nuit venue, je pense encore à tous ces gens autour de nous qui se perdent loin de Dieu. Mais toutes mes activités n’ont pas réussi à me débarrasser de cette tristesse. Attirée par elle, d’autres bads se joignent à la fête. Et comme si ça ne suffisait pas, je m’inquiète pour les finances de l’atelier (Rôôô. c’est nul, car je devrais savoir que ça ne sert à rien puisque Dieu pourvoira !). Rôôôlàlàlàlà ! Tu parles d’un festival dans ma tête !
J’éteins la lumière pour plus les voir et essayer de m’endormir.
Un vieux tube me trotte maintenant en fond sonore dans la tête : ben tiens, ça manquait ! Comme cette fois, ce n’est pas un cantique, je ne fais pas tout de suite le rapprochement avec la nuit précédente. Puis soudain, une étincelle d’intelligence me ravise. Je m’efforce d’écouter plus précisément les paroles. C’est de l’anglais, ça dit : “… je t’aime”.
Ça m’a tellement touché…
Une fois de plus, Dieu chante pour moi…
Il fredonnait avec douceur et le bienfait ressenti m’a rejoint jusque dans les profondeurs de mon être.
Plus souvent kon pense
Dieu, tout le temps là, nous témoigne très souvent de petites attentions qui, si on n’y prend pas garde, nous passent complètement à côté.
Mon voeu pour vous
En fin de compte, la plus belle chose que je puisse vous souhaiter, c’est que vous puissiez développer vous aussi la sensibilité et la foi d’enfant nécessaires pour ne pas en perdre une miette.
Car oui, c’est sûr, Dieu vous aime personnellement.
Alain
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